Offrir à tous les Français – sans naturellement exclure ceux qui croient aujourd'hui n'avoir d'autre choix que d'être républicain- l'espérance d'un roi, de leur roi. Et offrir au roi un corps de doctrine dans lequel il pourra puiser si tel est son désir. Tel est le double champ de reflexions du CER, Conseil dans l'Espérance du Roi, véritable "Autre Gouvernement".
Comme vous, je suis animée par l’amour de mon pays et j’ai le souci de son avenir.
C’est pourquoi j’ai décidé de m’engager dans un projet éducatif novateur et essentiel. Notre pays a aujourd’hui besoin d’une nouvelle génération de décideurs courageux, cultivés, avisés, capables d’assurer le succès de leurs entreprises et de la France dans le jeu de plus en plus mouvant et concurrentiel de la mondialisation.
Excellence, éthique, enracinement et engagement sont les valeurs qui constituent le socle pédagogique de l’Institut dont j’ai l’honneur d’assurer la direction. Ces valeurs fondamentales sont trop souvent délaissées dans les écoles supérieures en charge de la formation de nos futurs dirigeants économiques et politiques. Il est temps de briser le conformisme et le sectarisme intellectuel pratiqué aujourd’hui dans le monde universitaire et éducatif pour permettre de renouer avec l’esprit critique et le discernement qui fait tant défaut à nos élites actuelles.
L’ISSEP est une école de sciences politiques et de leadership qui offre, enfin, une alternative d’excellence à des étudiants qui ont le souci de la cité.
Venez découvrir nos objectifs, notre équipe et nos locaux sur notre site internet. N’hésitez pas à le partager et à devenir parrain de l’Institut. Nous avons besoin de votre aide pour réussir. Je compte sur vous.
Conformément à la loi n°78-17 du 6 janvier 1978, relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés et au règlement européen 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de suppression, d’opposition au traitement de données vous concernant et de portabilité de ces mêmes données en adressant une demande à l’Association à l’adresse postale visée à la rubrique « mentions légales ».
Le compte Youtube de TV Liberté a été fermé subrepticement hier au soir (même si vous pouvez encore suivre les émissions sur le site même de la chaîne) pour rébellion à la pensée conforme et obligatoire.
Par ailleurs et en partie à cause de cette censure, TV Liberté a besoin de nous, a besoin de vous, financièrement. Ne laissez pas nos ennemis l’emporter sur la Liberté :
La véritable « CONVERGENCE DES LUTTES » (dont on nous rebat les oreilles à propos du cinquantième anniversaire de Mai 68) est là ! Lisez ce message et vous y retrouverez ce que nous ne cessons de répéter :
Le mouvement royaliste français est gravement malade au point que nous craignons pour son existence ou qu’il ait même encore la volonté d’offrir au Roi sa couronne.
Nous avions déjà à déplorer les séquelles persistantes d’une guerre dynastique d’un autre âge entre deux branches de la même familles mais dont on finissait par croire qu’avec le temps et, surtout, la nécessité de faire front face à l’héritage désastreux de la République, elle ne tarderait pas à mourir de sa belle mort.
Hélas, que croyez-vous qu’il arriva ?
D’un côté, de nouvelles querelles entre le père et le fils de la branche cadette avec, en point d’orgue, les obsèques de l’aîné de ses descendants. De l’autre, la mise au point d’une infaillible machine à faire perdre, d’un brûlot explosif : l’invention d’un légitimisme de stricte obédience qui se distinguerait (dans tous les sens du terme) des autres ! Un effet collatéral de la maçonnerie, qui sait ?
Lorsque fin 2012 ( quelques mois après la fondation du Conseil dans l’Espérance du Roi) Dominique Hamel, CJA, créa VEXILLA GALLIAE (L’étendard de la France), premier site de presse royaliste, s’affirmant certes légitimiste mais d’un légitimisme ouvert et tolérant, nous fûmes ravis tant ce nouveau site venait parfaitement compléter notre propre action de contre-gouvernement de la France. Notre démarche étant de réunir un certain nombre de Conseillers, appartenant à l’ensemble des courants du royalisme français mais refusant toute prétention dynastique particulière en notre sein.*
C’est ainsi que nous avons collaboré, dès 2013, aux publications du site de Dominique Hamel par plusieurs billets politiques et culturels mais aussi par la réalisation d’un armorial capétien, consacré à la branche aînée de la maison de Bourbon et qui fait encore référence :
Tout alla bien jusqu’à ce que le vent se levât et la mer grossît. Dominique Hamel quitta le navire. Puis d’autres après lui. La qualité de certains écrits s’en ressentit, l’administration laissa à désirer et la gestion des commentaires des lecteurs devint défaillante. Nous en fîmes d’ailleurs la remarque à plusieurs reprises aux administrateurs. Au point que, dans sa dernière mouture….les commentaires des lecteurs, autrement dit l’âme du site, sont tout bonnement supprimés. Nous éloignant ainsi des paroles de Beaumarchais, dont Le Figaro fit sa devise : « Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur. »
En 2015, la Rédaction en chef fut confiée à Frédéric de Natal dont on put espérer qu’il redresserait la barre. Mais, peut-être que les difficultés rencontrées furent trop importantes car, dès la fin de l’année 2017, il quitta lui aussi le navire avec démission devenue effective le 21 janvier 2018 (une date terriblement symbolique !). Quelques jours plus tard, nous apprenions son remplacement par Loïc Baverel, issu de l’Alliance Royale et des Cercles légitimistes ce qui sembla de bonne augure même si la situation présente de la France ne nous paraisse pas pouvoir trouver des solutions dans les querelles dynastiques motifères que nous évoquions plus haut.
Aussitôt, un appel à de nouveaux contributeurs fut lancé par l’équipe éditoriale. Soucieux d’aider à relancer et à enrichir de notre expérience le travail de cette nouvelle équipe, nous lui répondions favorablement dès le 17 février, par ce courriel :
« Bonjour à tous,
Votre invitation à collaborer à Vexilla Galliae m’amène à vous proposer la participation du Conseil dans l’Espérance du Roi à la rédaction d’articles d’actualité pour l’enrichissement de votre ligne éditoriale. Nous sommes à votre disposition pour en discuter si cette proposition vous intéresse.
Très cordialement. Jean-Yves Pons«
Le 19 février, nous recevions de Loïc Baverel le message suivant :
« Cher Monsieur,
J’accuse réception de votre aimable proposition.
Je regarde ça ce soir avec l’équipe VG et vous donne une réponse ce soir ou demain.
En vous renouvelant mes remerciements,
Loïc Baverel
Directeur de publication«
De cette date (malgré rappel) jusqu’au 12 mars ce fut un long silence radio mais, le 12 en effet, nous recevions à notre grande surprise le message suivant :
« Bonjour cher Monsieur,
Je vous prie de bien vouloir m’excuser pour cette réponse tardive.
Je ne suis à ce jour pas capable de vous donner une réponse, il s’avère en effet que dans l’équipe personne ne connaissait votre mouvement(ndcer: voir ci-dessus !). Nous sommes donc un peu en peine pour déterminer si celui-ci est en accord avec la ligne éditoriale.
Afin d’objectiver la sélection des candidatures, nous avons décidé de créer un bref questionnaire que nous adressons à l’ensemble des personnes qui sont volontaires pour rejoindre l’équipe bénévole de VG (Vexilla Galliae). Nous venons de le terminer.
Ainsi, si vous êtes toujours intéressés, accepteriez-vous de remplir ce questionnaire en ligne svp ? Les personnes qui ont accepté de tester le questionnaire pour nous ont mis entre 1 minute 30 et 2 minutes à le remplir.
Prévenez moi quand c’est fait svp, je n’ai pas d’alerte quand un questionnaire est validé.
Merci,
Loïc Baverel «
Le Conseil dans l’Espérance du Roi devenait-il interdit de séjour en Légitimité ou quelqu’un voulait-il lui faire un procès en légitimité ?
Rappelons quand même la pérennité de notre action depuis mi-mars 2012, récompensée par un lectorat de notre blogue sans cesse croissant depuis cette date (près d’un millier de lecteurs hier !). Est-ce uniquement par hasard ? Rappelons aussi le résumé que nous faisions déjà de l’état du mouvement royaliste contemporain dans un commentaire de juillet 2012 apporté à l’éditorial de notre ami Gérard de Villèle, dans Le Lien légitimiste, et intitulé « Maldonne, vous avez dit maldonne? Pas si sûr… » (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2012/07/10/maldonne-vous-avez-dit-maldonne-pas-si-sur/).
Alors, coopérant mais fidèles à nos convictions, nous répondîmes au fameux questionnaire proposé bien qu’il rappelât des méthodes sombres de notre Histoire…Et ce qui était prévisible arriva, sous la forme du courriel suivant daté du 20 mars 2018 :
« Bonsoir cher Monsieur,
Je vous remercie d’avoir pris le temps de remplir ce questionnaire.
Il s’avère que notre ligne éditoriale est plus stricte et cohérente sur le plan doctrinal qu’avec la précédente équipe. Nous souhaitons nous inscrire dans la ligne de la doctrine légitimiste traditionnelle.
Après lecture de vos réponses nous constatons que votre vision et votre positionnement stratégique diffèrent des nôtres.
Dans un soucis de cohérence dans la ligne éditoriale, nous ne pouvons malheureusement pas vous intégrer dans l’équipe des contributeurs.
Bien cordialement,
Loïc Baverel »
DONT ACTE !
Ou comment se tirer une balle dans le pied et mieux s’enfermer entre soi. La couronne ? Non, merci !
Mais le principe et la volonté du CER ne changeront pas :
Vexilla Regis prodeunt, fulget Crucis mysterium,
Les étendards du Roi s’avancent, et la lumière de la Croix resplendit de son mystère,
Qua vita mortem pertulit, et morte vitam protulit.
Où la vie a subi la mort, produisant, par la mort, la vie.
8- Professeur Gérard Lucotte. L’on se souvient que le Professeur Lucotte nous avait déjà honoré de sa présence lors de la précédente Biennale Blanche. Il a bien voulu revenir cette année pour nous présenter l’analyse suivante : « Pour en finir avec Naundorff. L’argumentation ADN
10-Panorama de Voir . Blog fondé le 26 mars 2015 . L’association VOIR qui N’EST PAS ROYALISTE a vu le jour en 1985 Son objectif est non pas de faire la liste des victimes d’un seul camp ( royalistes, révolutionnaires) mais de faire la liste de toutes les victimes OFFICIELLES ET INCONNUES , ce qui a d’ailleurs donné naissance à son sigle ; Victimes Officielles et Inconnues de la Révolution https://panoramadevoir.wordpress.com/
12– Roger Jolois , des éditions Roger Jollois pour vous entretenir du Roi et de l’Ancien Régime.
Sans oublier les précieux services rendus lors des Biennales précédentes par nos amis du SYLM (Support Your Local Monarch) fondateur du génial SYLMpedia l’encyclopédie dédiée à l’histoire intellectuelle, sociale et politique du monarchisme. http://www.sylmpedia.fr/index.php?title=Accueil
Venez y rencontrer, en particulier, plusieurs des membres du Conseil dans l’Espérance du Roi qui seront heureux de faire votre connaissance et d’échanger avec vous :
NDLRB. L’on retrouvera grâce au lien ci-dessus des commentaires bien moins flatteurs que ceux qu’on lira ci-dessous . Il est vrai qu’être cadet , surtout lorsqu’on l’est d’un roi est art difficile.
La biographie que signe Jean-Marie Constant, président de la Société d’études du XVIIe, met en lumière l’idée d’une monarchie tempérée incarnée par le frère cadet de Louis XIII.
Parce que l’histoire est écrite par les vainqueurs, aborder celle des perdants est une gageure. Les traces, souvent, sont brouillées, et les points de vue, faussés. Gaston d’Orléans, fils d’Henri IV et de Marie de Médicis, frère cadet de Louis XII père de la Grande Mademoiselle Anne Marie Louise d’Orléans (1627-1693) n’échappe pas à la règle.
Jean-Marie Constant, président de la Société d’études du XVIIe siècle, qui a sans cesse croisé ce prince haut en couleur dans ses recherches, veut s’inscrire en faux contre la hargne de certains historiens. Son livre, qui s’enracine en profondeur dans la culture de l’époque, s’agrège autour des événements les plus controversés de sa vie. Il dépeint ainsi avec subtilité et sympathie ce duc d’Orléans non seulement oublié, mais mal-aimé. Mais de qui?
Enfant préféré de sa mère, drôle et plein d’esprit, il suscite tôt la jalousie de Louis XIII, qui entravera toutes ses initiatives. Le cardinal de Richelieu voudrait, lui aussi, le soumettre. Mais Gaston, jaloux de sa liberté, devient un opposant inflexible au cardinal, qu’il traite de «prêtre inhumain et pervers». Face au ministre à la soutane rouge, qui déploie une nuée d’espions pour le surveiller, le fils de France perd la partie.
Une autre éminence rêve de le manipuler: le cardinal de Retz, frondeur devant l’Éternel, l’auteur des célèbres Mémoires. Mais le prince, toujours jaloux de son indépendance d’esprit, ne le suit pas. Retz se venge en l’accusant entre autres de faiblesse et d’irrésolution. De même, comme le prince refuse de tremper dans un projet d’assassinat de Richelieu, le comte de Montrésor l’égratignera avec sa plume.
Toute cette encre rancunière charge sa postérité. Une mauvaise réputation que ses contemporains, pourtant, ne partagent pas. Au contraire. Les magistrats le ménagent, la noblesse et l’armée le suivent. On l’appelle «le bon duc d’Orléans»,«le père de la patrie», on voit même en lui un possible futur Henri IV. Jusqu’à la naissance de Louis XIV en 1638, Gaston est l’héritier du trône. Ses ambitions le décevront, mais il refuse de devenir un chef de parti. Cet humaniste à qui la violence répugne a le souci d’apaiser les ferments de guerre civile. Il veut soulager la misère des pauvres et des déshérités. L’oraison funèbre écrite par Jean-François Senault froisse tellement Louis XIV qu’il en interdit la publication. Il faut dire qu’on le présente comme attaché à «la liberté du peuple», «médiateur entre le roi et ses sujets»…
Gaston incarne sans doute une conception d’une monarchie tempérée, qui s’est imposée en Angleterre mais qui a échoué en France. Alors, un précurseur du libéralisme politique et même de la démocratie chrétienne, comme le suggère l’auteur? Peut-être un peu exagéré… Il est vrai que Gaston, qui fréquente des dévots et des libertins, aimerait réconcilier les inconciliables. Le sens de la liberté émane surtout de son tempérament. Il l’a prouvé en contractant un mariage d’amour avec Marguerite de Lorraine contre la volonté de Louis XIII et de Richelieu, qui ont exercé contre lui les pires pressions. En vain.
Hilarant. A mourir de rire… Convenez qu’il aurait pu s’agir là d’un « coup du roi » ! Un Copé et un Désir au même tableau… Vous avez dit « démocratie » ? Ne riez pas, sortez vos mouchoirs ! « A l’UMP, nous apprenons la démocratie, c’est assez nouveau ». L’aveu tombait le dimanche 2 juin sur le plateau de Dimanche+. De la part du chantre des valeurs républicaines Copé, aux prises avec les frasques de la « primaire » pour l’élection « démocratique » du candidat UMP à la prochaine élection municipale…
N’était-ce pas tendre le bâton aux chevaliers blancs de la « démocratie », et se faire battre comme plâtre ?
Le chevalier en chef ne s’est pas fait attendre !
« L’UMP, comme elle l’avait montré au moment de son congrès, a un problème avec la culture démocratique » De qui ce verdict sans appel ?
De Jean-Philippe Désir, celui que tous appellent Harlem… secrétaire général du parti de la « démocratie » incarnée !
Celui là même qui fut élu à la suite d’une procédure qualifiée de « nord-coréenne » par certains de ses amis… alors qu’il déclarait peu avant : « Je souhaite qu’il y ait un vote (des militants) ouvert aux différents candidats, car la « légitimité du futur premier secrétaire, elle doit procéder de ce rassemblement des socialistes qui se seront exprimés par un vote démocratique ».
La suite vous la connaissez : Jean-Philippe Désir – nous vous épargnerons le rappel de sa « carrière » et les terribles difficultés de stationnement qu’il a connu… – a été « désigné » comme au bon vieux temps des soviets !
Il suffisait alors de prendre la mesure de la joie des militants socialistes : « Je suis triste de prendre conscience aujourd’hui que ma voix de militante ne vaut rien dans ce parti », commente une militante.
« Déception! », « C’est tout sauf un parti démocratique »
La messe pour le Roi a été célébréeà la demande de pieuxfidéles, par M. l’Abbé Legentil en la chapelle Ste Eugénie à Nîmesle 21 janvier à 18h30 .
Nous allons également célébrer un office de requiem le 27 février pour Madame Adélaïde de France, fille de Louis XV, et elle aussi victime indirecte de la révolution (voir sa fuite et son exode dans le sud de l’Italie et sa mort à Trieste). C’est en tout une grande princesse dont la mémoire mérite aussi d’être à nouveau honorée.