L’objectif de la députée Süd-Tiroler Freheit ( Liberté pour le Tyrol du Sud) Evaz Klotz est resté intact depuis plus de trente ans : faire revenir sa province , annexée à l’Italie en 1919, dans le giron de la mère patrie autricienne.
Myriam Détruy. le tyrol du Sud rêve d’Autriche; 28 octobre 2013 p. 6
LE RÈGIEMENT DU LITIGE ITALO.AUTRICHIEN SUR LE TYROL DU SUD
Alain Fenet Chargé de Cours à I’Université d’Amiens
Les bases d’une solution au litige sud-tyrolien ont été posées à la lin de I’année 1969 par un accord apportant apparemment satisfaction aux trois parties intéressées (l’Italie, l’Autriche et la minorité sud-tyrolienne), non sans une hostilité résignée de certains dans chacun des trois camps.
Cet accord n’a été atteint qu’après plus de vingt ans de dispute, d’incidents et même de violences. Il importe donc de rappeler les données fondamentales du litige avant de s’attacher à décrire le règlement dont il a fait I’objet.
Le traité de Saint Germain du 10 septernbre 1919 consacra l’annexion du Tyrol du Sud par l’Italie, en exécution de la promessse, faite par la Russie, la Fiance et le Royaume Uni dans le traité de Londres du 26 avril 1915 qui décida la participation italienne dans la guerre aux côtés des Alliés.
En acquérant la moitié du Tyrol, I’Italie étendait sa domination sur une population d’un peu plus de 250 000 personnes, -sans égard au -principe .du àrôit des peuples à disposer d’eux-mêmes proclamé par.-Wilson. Ni 1’histoire, ni la géofraphie, ni l’elhnologie, ni l’économie ne justifiaient cette annexion. Un prôttàme minoritaire étaiiainsi crêé de toutes pièces dans une Europe qui pourtant n’en manquait pas.
http://www.u-picardie.fr/labo/curapp/revues/root/1/fenet1.pdf
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conseil dans l'espérance du roi 
Le Trentin Haut adige est l’ancienne princupaté de Trente. Gouvernée par des Princes-Evèques sous le Saint-Empire Romain Germanique, cette Principoauté fut sécularisée par Napoléon I°, qui la donna aux… Comtes de la Valteline, qui étaient gouverneurs de la Valteline pour le Saint Empereur Germanique et vidames héréditaires des Princes-Evèques de Trente.
Les Comtes de la Valetline refusèrent de preter serment à Npaoleon I° : mal leur en prient, qui devient pauvres et émmigrèrent en Siciles…
La région fut autrichienne jusqu’en 1919, dépendante du Royaume Lombardo-Vénitien avant qu’elle ne soit rattachée à l’Italie à l’issue de la Première Guerre mondiale. Le territoire fut rebaptisé Venezia Tridentina. Le régime fasciste essaya d’italianiser la population de langue allemande, mais sans succès. Conjointement, il favorisa une immigration italienne massive.
Après la Seconde Guerre mondiale, le Haut-Adige resta à l’Italie, mais les Alliés imposèrent à celle-ci un engagement de protection de la minorité de langue allemande, octroyant une vraie autonomie à la province de Bolzane (Accord De Gasperi-Gruber, 5 septembre 1946). Le président du conseil italien, Alcide de Gasperi, originaire de Pieve Tesino dans la province de Trente, voulut élargir cette autonomie à ses concitoyens. Ainsi fut créée la région Trentin-Haut-Adige, où les Italiens étaient majoritaires, rendant impossible l’auto-administration des Tyroliens du Sud. Pour cette raison et pour celle de l’installation d’italophones, l’insatisfaction de la population allemande crût et culmina dans les années 1960 avec le mouvement terroriste du BAS (all. Befreiungsausschuss Südtirol – Comité pour la libération du Tyrol du Sud), qui revendiquait la réunification du Tyrol au sein de l’Autriche. Au début, les actions étaient dirigées exclusivement contre les biens (monuments fascistes, lignes électriques) et non contre les personnes.
En 1972, un nouveau statut d’autonomie entra en vigueur. La plupart des compétences législatives et administratives ainsi que les ressources financières ont été transférées de la région Trentin-Haut-Adige aux deux provinces de Trente et Bolzane.
C’est aujourd’hui une région autonome, officiellement bilingue, qui partage sa frontière avec la région tyrolienne de l’Autriche et dont l’économie repose notamment sur le tourisme avec de nombreux domaines skiables reliés dans le secteur alpin des Dolomites. Elle s’appelle Trentino-Alto Adige /trenˈtiːno ˈalto ˈaːdidʒe/ ; en allemand, Trentino-Südtirol ; en ladin, qui est la troisième langue officielle dans quelques vallées orientales, on dit Trentin-Südtirol. Sa capitale est Trente (Trento), ville connu pour avoir abrité le Concile du même nom. La population italienne du Südtirol est majoritairement germanophone.
@Hervé Volto Il y a beaucoup d’erreurs factuelles dans votre présentation historique et votre propos s’en trouve malheureusement décrédibilisé, alors même qu’il n’y a rien à y redire sur le fond. Pour faire court, le Sud-Tyrol n’a jamais, au grand jamais, été la Principauté de Trente ou la Vénétie Tridentine – du moins jusqu’à l’annexion italienne et la politique fasciste d’italianisation à outrance. Le Sud-Tyrol, c’est tout simplement la moitié sud du Comté de Tyrol. Point. Le château de Tirol qui donna son nom au comté se trouve dans le Passeiertal (Sud Tyrol). Andreas Hofer, le héros populaire et historique de la résistance tyrolienne à Napoléon, fusillé par les français à Mantoue, était aubergiste à Sankt Leonhard, dans le Passeiertal également. C’est le Trentin qui a été annexé au Tyrol par l’empereur François II au traité de Vienne, et pas l’inverse. Le Sud Tyrol n’a jamais, jamais fait partie du royaume lombard-vénitien etc…En 1918 la population sud-tyrolienne était composée de 95% de germanophones, 3% de ladins et seulement 1% d’italiens. Les chiffres étaient exactement inverses dans le Trentin qui n’a jamais été germanophone. Toutefois, certains sujets italiens de l’empereur lui ont été loyalement fidèles toute leur vie : ainsi le juge impérial Magnago, père de Silvius Magnago – l’homme qui fut pendant des dizaines d’années le leader incontesté du Süd Tiroler Volks Partei (S.V.P.) et qui finit par faire plier l’Italie. Aujourd’hui une coopération transfrontalière bienvenue réunit dans une Eurorégion le Tyrol autrichien (capitale Innsbrück), le Sud-Tyrol (capitale Bozen/Bolzano) et le Trentin (Trente), réunissant ainsi trois régions qui ont été historiquement, culturellement et géographiquement unies pendant un siècle (1815-1919).
Le Trentin Haut adige est l’ancienne princupaté de Trente. Gouvernée par des Princes-Evèques sous le Saint-Empire Romain Germanique, cette Principoauté fut sécularisée par Napoléon I°, qui la donna aux… Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA, qui étaient gouverneurs de la Valteline pour le Saint Empereur Germanique et vidames héréditaires des Princes-Evèques de Trente.
Les Comtes de la Valetline, devenu les Princes DE VOLTOLINA, refusèrent de preter serment à Napoleon I° : mal leur en prient, qui devient pauvres et émmigrèrent en Siciles où ils devinrent… les VOLTO, demostes pécheurs de thon, qui ensuite emmigrèrent en 1831 en Algérie où ils devinrent exploitant agricoles jusqu’en 1962, où un jeune homme de 26 ans et son épouse de 25 durent prendre le bateau en larme pour Marseille avec le seul bien le plus précieux qu’il leur restait : leur héritier à peine agé de 4 mois en juin 62.
Entretemps -vous avez raison- le Trentin qui a été annexé au Tyrol par l’empereur François II au traité de Vienne de 1815 : la région fut autrichienne jusqu’en 1919, dépendante du Royaume Lombardo-Vénitien, avant qu’elle ne soit rattachée à l’Italie à l’issue de la Première Guerre mondiale.
« Südtirol » (letteralment «Sud Tirolo/Sud Tyrol») est un toponyme germanique qui a étè historiquement utilisé pour indiquer plusieurs espèaces différants :
1. La province autonoma d’Alto Adige/Haut Adige, ainsi offciellement dénominée par les autrichiens à partir de 1972 mais historiquement en usage depuis l’annexion du Tyro par l’Italie en 1919;
2. Historiquement, éhgalement le Trentino/Trentin Trentino, denominé Tyrole italien oi Tyrole meridional (Cette fois-ci identifié avec l’esonyme germanique Welschtirol ou Welsch-Südtirol), alors que la province de Bolzano -le haut Adige- faisait parti du Deutsch-Südtirol, ou plus rarement Mitteltirol, in italiano Tirolo centrale;
3. Historiquement au sens large l’entière région Trentino-Alto Adige/Trento-haut Adige.
Avec l’adjectif derivé Südtiroler, on indiquait à l’époque Habsbourgiennne aussi les Trentinois. Ainsi, le rovéritien Antonio Rosmini, définissait dans les textes de langue germanique Südtiroler.
Le séparatisme sud-tyrolien est un mouvement politique de caractère indépendantiste qui réclame l’autodétermination du Tyrol du Sud, province autonome de Bolzano dans le Trentin-Haut-Adige, et se concrétisant soit par davantage d’autonomie, soit par la réunification avec le Tyrol au sein de l’Autriche. Certains groupes sont même favorables à l’établissement d’un État libre du Tyrol du Sud provisoire pour organiser l’annexion.
Hervé Joseph VOLTO, des Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA et des Prince DE VOLTOLINA, pour vous servir…
Hélas , on est loin d’en avoir fini avec l’exposé des conséquences délétères de la désintégration de l’ ex Autriche-Hongrie. A sa place nous avons une Hongrie territorialement martyrisée, un certain nombre d’états-croupions issus d’un Yougoslavie fourre tout et surtout une Prusse (Allemagne) sure d’elle et dominatrice.