Une superbe vue de sa bonne ville de Limoges, photographiée par l’astronaute français Thomas Pesquet depuis la station spatiale internationale et juste avant son retour sur terre, aujourd’hui vendredi 2 juin 2017.
samedi 17 septembre 2016
Défense & Société • Décorations : plutôt victime que soldat
par Jean-Michel Thouvenin
La médaille nationale de reconnaissance aux victimes du terrorisme est une décoration civile et militaire française créée par un décret du 12 juillet 2016.
Peuvent y prétendre les Français tués, blessés ou séquestrés lors d’actes terroristes commis sur le territoire national ou à l’étranger, ainsi que les étrangers tués, blessés ou séquestrés lors d’actes terroristes commis sur le territoire national ou à l’étranger contre les intérêts de la République française.
Si nous ne pouvons que saluer une démarche visant à rendre hommage aux victimes du terrorisme, nous sommes en droit de nous interroger en revanche sur le positionnement de cette médaille dans l’ordre protocolaire des décorations françaises. De fait, étant décernée par décret présidentiel, la médaille nationale de reconnaissance aux victimes du terrorisme se porte directement après l’Ordre National du Mérite (elle-même placée derrière l’Ordre de la Légion d’Honneur, l’Ordre de la Libération et la Médaille militaire), ce qui en fait la cinquième décoration dans l’ordre protocolaire.
Ce positionnement la place donc également, et légalement, avant les croix de guerre et celle de la valeur militaire, qui récompensent, quant à elles, l’octroi d’une citation pour conduite exceptionnelle ou action d’éclat au feu. Elle est naturellement aussi placée bien avant la médaille des blessés militaires…
C’est là que le bât blesse. Car si les victimes du terrorisme ont droit à toute notre sollicitude, elles ne peuvent en revanche se réclamer d’aucun volontariat dans la lutte contre l’ennemi, et moins encore d’acte de bravoure dans un contexte de guerre. On peut reconnaître une victime, l’assurer de la compassion de la nation, on peut l’indemniser le cas échéant, mais on ne saurait la récompenser.
Une récompense est faite pour saluer et sanctionner une action volontaire qui a nécessité du courage, de la détermination, de la bravoure. Une victime passive, n’ayant pas été en mesure d’entreprendre quoi ce soit pour lutter contre l’adversaire, ne saurait répondre à ces critères. Il n’y a donc pas lieu de confondre hommage et récompense, respect et mise à l’honneur, compassion et déférence. Il convient de hiérarchiser le mérite, la circonstance des blessures, l’engagement volontaire, avec justice et discernement.
Mais les dessinateurs trotskistes et obscènes de Charlie Hebdo, qui n’avaient cessé de vomir sur des institutions telles la police, l’armée ou l’Eglise, se sont vu octroyer la Légion d’Honneur à titre posthume, alors que des milliers de combattants, héros ignorés des derniers conflits, n’ont eu droit à aucune reconnaissance de leur vivant, et n’ont été cités que dans l’anonymat des cérémonies du souvenir.
Partant de ce triste constat, le choix du positionnement de la médaille nationale de reconnaissance aux victimes du terrorisme, décision fleurant un léger parfum de démagogie, n’étonnera plus personne. •
http://www.politiquemagazine.fr/decorations-plutot-victime-que-soldat/
Relayé par :
Ce que nous en pensons:
Assurer la reconnaissance de la Nation à des malheureux victime d’un terrorisme pas si aveugle que cela est assurément une très bonne chose Aussi bien , ce qui est en cause dans la critique ci-dessus est moins l’octroi d’une décoration … encore que…. que sa place absurde dans l’échelle des décorations décernées par la République.
Assurément ce ne sont pas les lecteurs de ce blog qui seront étonnés par cette querelle . La République n’a pas la moindre idée de ce qu’une décoration peut témoigner non seulement pour celui qui la reçoit mais bien plus encore pour tous ceux de sa parentèle . Innombrables sont les décorations militaires et civiles qui, traitées avec honneur par la première génération, ont regagné les cartons du grenier avec la deuxième et les stocks d’Emmaüs avec la troisième. Nous avons déjà * traité de la disparition de facto de la Légion d’honneur absurdement décernée maintenant à des personnes dont le seul mérite éminent au service de la nation, à titre militaire ou à titre civil est d’appartenir au sexe féminin.
Le roi restauré devra donc ressusciter la noblesse qui offrira une échelle graduée et transgénerationnelle de la reconnaissance du Souverain de façon à ce que soit ainsi encouragé les sujets du monarques et leurs descendants nés et à naître à faire de plus en plus à son service et , par le fait même , au service de la France.
Ainsi sera reconstruit ce pont intemporel mais pourtant bien réel entre les générations avec le retour du concept de Lignée toute entière dédiée à un dépassement de soi même et des siens .
C’est bien d’ailleurs la voie déjà empruntée par le Conseil dans l’Espérance du roi lorsque le 1 er août 2012 il a institué institué « l’ ordre et ardente compagnie royale du Mérite, sous le vocable de Sainte-Jeanne d’Arc, appelé plus communément ordre royal de Sainte-Jeanne d’Arc«
Pour le Conseil dans l’Espérance du Roi, Alain TEXIER, CJA, Docteur en Droit, Garde des Sceaux,Conseiller à la Justice, aux Libertés publiques, aux devoirs et aux droits des Citoyens et Conseiller aux réformes institutionnelle.
Quelques jours après ce sanglant 14 juillet , je ne me lasse pas de parler des bienfaits que nous devons à la révolution dite Française* . Ainsi en est-il, par exemple, par exemple les six prisons qu’il fût nécéssaire d’implanter à Orange. pour incarcérer tous ceux qui n’avaient pas compris toute la richesse des « valeurs républicaines ».
Alain TEXIER, CJA.
Avant d’être jugées par le tribunal révolutionnaire, les victimes furent d’abord détenues, pendant un temps plus ou moins long, dans les six différentes prisons établies à Orange pour les recevoir :
ALAIN TEXIER (1945 – ) sera présent aux journées chouannes le dimanche 4 septembre 2016
Alain Texier est né le 17 décembre 1945, à Loudun (Vienne) a fondé le jeudi 25 aout 1988, entre millénaire et bi-centenaire – la Charte de Fontevrault en l’abbaye royale homonyme, mouvement royaliste providentialiste qui s’en remet à Dieu choix de qui régira sur la fille aînée de l’Eglise.
Pacte de non-agression entre militants royalistes servant des princes différents, la Charte demande aux royalistes de s’en remettre à Dieu du point de savoir qui sera Son Lieutenant en terre de France et, pour préparer sa venue, de pardonner les offenses commises par ceux qui servent un autre prince qu’eux.
Docteur en Droit
Diplômé des Sciences politiques
Maître de Conférences (E.R.) à la Faculté de Droit et des Sciences économiques de Limoges
Confrère de la Confrérie de Saint Loup de Limoges (Laïcs catholiques).
Il a collaboré aux Cahiers de Chiré et publié un certain nombre d’ouvrages
Vidéo de présentation des journées 2015
L’ université de Poitiers est une des plus anciennes de France. Elle fut fondée en 1431 et voulue par le roi Charles VII pour récompenser la fidélité que lui avait toujours montrée le Poitou. Sa création tient donc aux circonstances de la guerre de Cent Ans, l’occupation de Paris par les Anglais ayant entraîné l’exil d’une partie de l’université de Paris. Le 29 mai 1431, une bulle du pape Eugène IV en autorisait la création, effective le 16 mars 1432 par lettres patentes du roi de France
https://fr.wikipedia.org/wiki/Université_de_Poitiers
Pour le Conseil dans l’Espérance du Roi, Alain TEXIER, CJA,Docteur en Droit, Garde des Sceaux,Conseiller à la Justice, aux Libertés publiques, aux devoirs et aux droits des Citoyens et Conseiller aux réformes institutionnelle.
Alain Texier qui s’honore de rappeler qu’il a passé l’oral de sa première année de DEUG ( Diplôme d’Etudes Universitaires Générales) de Droit et de Sciences éco dans les anciens bâtiments de la Faculté de Droit et des sciences économiques sis juste en face de l’église romane de Notre -Dame-la-Grande
Il y a deux jours, Alain Texier, CJA, pointait du doigt l’absurde remplacement des armoiries de la ville de Verdun par un logo sans histoire et, évidemment, sans âme : (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2016/02/23/des-armoiries-au-logo-de-verdun-55100-de-la-perfection-au-neant/).
Il y a hélas d’autres exemples semblables mais il y en a aussi de moins critiquables. Nous pourrions citer la ville de Vincennes en ce qu’elle est particulièrement démonstrative d’une réflexion intéressante.
Les armoiries de Vincennes furent imaginées (car, chose étonnante, elle n’en possédait pas auparavant) par le grand héraldiste du XXe siècle Robert Louis, peu après la dernière guerre mondiale :
Elles se blasonnent ainsi : « De gueules au château d’argent donjonné et crénelé, posé sur un chemin de ronde aussi crénelé, flanqué à dextre et à senestre d’une échauguette, le tout posé sur une risberme, d’argent maçonné et ajouré de sable, accompagné en pointe de trois boulets mal ordonnés aussi d’argent; au chef d’azur semé de fleurs de lys d’or. »
Le meuble principal du blason est la silhouette stylisée du château. Le semé de lis qui orne le chef du blason rappelle les armes de France que portait Saint-Louis. Les trois boulets évoquent le souvenir de l’héroïque défense du château par Daumesnil (Pierre Yrieix ) en 1814, et sont également le rappel de l’école d’application d’artillerie. Le bois de Vincennes est concrétisé par les deux branches de chêne qui soutiennent le blason. Le souvenir de Saint-Louis rendant la justice sous un chêne est évoqué par le sceptre et la main de justice qui figurent sur son sceau de Majesté.
La devise de la ville est : « Liliis Justitia Lapidibus Fama« , ce qui peut se traduire par : la justice par les lis, la renommée par les pierres. Cette devise fait allusion à la fois au blason et à l’histoire de Vincennes.
Lorsque la vogue des logotypes atteignit cette jolie ville historique, la municipalité crut bon de demander à une agence parisienne spécialisée de « repenser » son emblème dans l’esprit du temps présent ce qui donna lieu à quelques échanges vigoureux entre le maire de l’époque et les héraldistes locaux (dont votre serviteur). Finalement, une « sortie de crise » fut trouvée dans la forme suivante :
1/ les armoiries de Vincennes (bien que récentes) furent conservées pour tous les actes d’importance (elles figurent sur les documents officiels) ainsi que lors des manifestations historiques ou culturelles mais
2/ un logotype était accepté pour les usages courants à la condition qu’il garde un caractère héraldique en reprenant, sous une forme plus moderne, les éléments principaux des armoiries :
Tout cela n’était sans doute pas nécessaire mais…permettait de « sauver les meubles » du blason !
Le 24 février 2016.
Jean-Yves Pons, CJA
Le 11 novembre 2014
jean-Yves Pons , CJA.
Il va maintenant nous revenir d’aider à une diffusion la plus grande possible de ce souhait si conforme à l’esprit des royalistes. Oui vraiment que la devise « Honneur et fidélité » flotte sur la Toile avant que de flotter sur les bannières de ces braves qui, en enjambant les siècles, s’efforceront d’unir le passé souvent prestigieux à un avenir qui pourrait l’être au mépris des époques qui n’ont pas su mettre leurs pas dans les pas de ceux qui les avaient précédés.
Alain Texier, CJA.
21 février 2016.
L’interruption temporaire de nos liaisons informatiques nous prive du plaisir de communiquer une fois de plus avec vous . Nous vous prions de bien vouloir nous en excuser et avons hâte de pouvoir reprendre ces échanges quotidiens.
Pour autant , nous vous demandons d’être patients, la répararation de l’importante panne in- formatique qui nous frappe pourrait prendre quelques jours.
Pour Jean -Yves Pons, Régent du CER, Alain TEXIER.
« Seules les portes gothiques de la grande salle de la Tour sont conservées au château de Vincennes. Des gravures, des tableaux, des maquettes, des plans, des écrits en gardent le souvenir. Louis XVIII accorde au dernier défenseur de son frère, l’avocat de Sèze, de faire figurer, dans ses armoiries, la Tour du Temple entourée de fleurs de lys. La concession lui est accordée par ordonnance du 12 novembre 1817, Nous lui avons permis et permettons des substitutions dans ses armoiries, au croissant et aux trois tours qui s’y trouvent, des fleurs de lys sans nombre et une tour figurant la Tour du Temple et pour devise extérieure 26 décembre 1792. La Tour et la date de la plaidoirie sont donc liées, évoquant la prison et la mort de la famille royale, au travers de celle du Roi ». http://lesroissouterrains.over-blog.com/2015/10/dominique-sabourdin-perrin-les-oublies-du-temple.html
NDA. Alain Texier , CJA. Les indications héraldiques figurant ci-dessus sont beaucoup moins fiables que celles données par notre régent, Jean-Yves Pons , CJA dans l’article dont les références figurent dans la première ligne de ce post. Si nous avons pourtant estimé souhaitable de mettre en ligne l’écho ci-dessus c’est que peu fréquents sont les blogs qui parlent d’héraldique et que ce qu’il dit des seuls vestiges subsistants de la Tour du Temple m’a paru intéressant.
La duplicité des républicains, qu’ils soient de ce côté là des Pyrénées ou de l’autre est décidémment un puits sans fond. Les personnes qu’ils envisagent de placer – ou qui le sont déjà, hélas ! – sous leur férule ne sont que tolérées. Elles ne sont que tolérées , disions nous, dans l’espérance que les électeurs éblouis par leur dévouement à la cause commune vont finir par se reprendre et les porter au pouvoir. Ce pouvoir leur revient d’ailleurs de droit puisque eux savent agir dans le sens de l’histoire.
Dés lors peu leur importe d’avoir un comportement qui peut apparaître à leurs ennemis de classe comme non démocratique selon les critères bourgeois, ainsi qu’il en est dans cette misérable tentative d’empêcher le roi Felipe VI de s’exprimer, puisque EUX sont la VERITABLE DEMOCRATIE .
Pour le Conseil dans l’Espérance du Roi, Alain TEXIER, CJA, Garde des Sceaux,Conseiller à la Justice, aux Libertés publiques, aux devoirs et aux droits des Citoyens et Conseiller aux réformes institutionnelles.
Via la Page Facebook CMI de Frédéric de Natal ( Mise en ligne du 12 octobre 2015) https://www.facebook.com/groups/monarchiste/10153459392979902/?notif_t=group_activity
Où l’on apprend que les quatre eurodéputés de la Gauche unie ( Izquierda Unida) ont tenté de faire pression sur le Président du Parlement Martin Schultz afin qu’il retire l’invitation faite au Roi Philippe VI d’Espagne de faire un discours au parlement européen. http://www.elmundo.es/espana/2015/10/05/5612506d46163faa798b4588.html
es.