C’était le 17 décembre 1970, à Barcelone.

24 Août

Cinq ans seulement avant la disparition du Caudillo. La foule était immense et chaleureuse comme le démontre cette photographie* :

Une photo qui témoigne que les Espagnols, et en l’occurence ici, les Catalans reconnaissaient les mérites d’alors du régime prétendument dictatorial ainsi qu’on nous le rabâche aujourd’hui. Nous étions pourtant en 1970, trente quatre ans après la fin de la guerre civile.

Une photo qui montre aussi que le général Franco n’était pas seul à Barcelone. Outre son épouse que l’on reconnaît à ses côtés, il y avait aussi le Prince d’Espagne, futur roi Juan Carlos de Bourbon, désigné successeur du Caudillo en juillet 1969, et son épouse, la princesse Sophie de Bourbon née princesse de Grèce.

Cette apparition publique du chef de l’Etat d’alors et de son successeur désigné eut lieu après un gigantesque bain de foule dans les rues et dans la cathédrale de Barcelone au cours duquel s’exprima, une fois encore, la ferveur du peuple catalan :

Qui peut prétendre le contraire, à part bien sûr Pedro Sanchez, le chef du gouvernement socialo-communiste d’aujourd’hui qui voudrait réécrire l’histoire d’une défaite ?

Le 24 août 2021.

(*) photo certifiée authentique, comme la vidéo qui suit.

3 Réponses to “C’était le 17 décembre 1970, à Barcelone.”

  1. Hervé J. VOLTO août 24, 2021 à 8:49 #

    Des régimes comme ceux de Garcia Moreno en Equateur, de Franco en Espagne et de Salazar au Portugal sont autant de tentatives de restauration de véritables institutions:

    -Les partis sont interdits car facteurs de divisions.
    -Les institutions civiles traditionnelles sont encouragées (politiques familiales, restaurations de corps de métier…).
    -Les institutions politiques sont Chrétiennes.

    Malheureusement ces beaux édifices s’écroulent à la mort de l’homme fort et le pays retourne immanquablement à la Révolution. Sur le plan de la Légitimité naturelle, ces institutions sont donc très imparfaites, plus fragiles encore que celles du Bas Empire romain ou que celles de la Monarchie Carolingienne.

    Seul le Général Franco comprit de devoir restaurer la Monarchie. Que Juan carlos se soit en suite vendue à la démocratie est un autre problême : de là tous les problêmes que vit l’Espagne, problêmes dont Sanchez n’est pas un des moindres facteurs.

    La démocratie, c’est le mensonge au pouvoir. Or qui est le père du mensonge ?

    la vérité, c’est que, restaurée aujourd’hui en France, la Monarchie Légitime, Salique et héréditaire, Catholique, Capétienne et de Naissance Légale, possèderait trois leviers pour gouverner : le COURAGE qu’apporte le long terme, la LIBERTE qu’apporte la Souveraineté, la JUSTICE qu’apporte l’esprit Chrétien.

    La continuité Royale, assurée par l’hérédité, retire le pouvoir aux luttes partisannes, aux ambitions personnelles et à la corruption, et peut dès lors assurer le Bien Commun du peuple Français et la pérénité de la France comme de sa vocation Catholique, le Roi de France, nouveau Constantin, devant gouverner chrétienement :

    -…pour le Bien Commun et le salut de l’Etat (Edit de juillet 1717) !

    LE ROI, C’EST LA PRESENCE DU SACRE DANS LE POUVOIR, LA CONTINUITE DE LA FRANCE AU-DELA DE LA REPUBLIQUE, LE DESTIN NATIONAL INCARNE PAR UN SOUVERAIN INDEPENDANT DES CAPPRICES DU SUFFRAGE UNIVERSEL ET DU DIKTT DES BANQUES, DES LOBBYS ET DES ONG.

  2. Hervé J. VOLTO août 24, 2021 à 11:18 #

    UN DERNIER POUR LA ROUTE !

    Comment ne pas faire un parallèle entre l’espagne de Sanchez et la France de Macron ?

    A part qu’ils sont grands amis, tous les deux. Le piège qui se referme sur l’Espagne est le même que celui qui se referme sur la France.

    L’appel de Voncent Vauclin à l’Armée a trouvé comme réponse la tribune des Généraux. Un putch ? Un des signataires de la Tribunes des Généraux n’est autre que le Général Antoine Martinez, un retraité de l’Armée de l’Air et spécialiste de questions de Renseignement, qui se présente aux Présidentielles de 2022

    Projet politique présidentiel du général Antoine Martinez.


    Les signataires de la Tribune des Généraux voteront pour Lui : pourquoi faire un putch si on peut élire notre champion à la tête de l’Etat démocratiquement ?

    Ce qui rêvaient d’une nouvelle cagoule, d’une nouvelle OAS, en seront pour leurs frais : aucun général ne bougera avant les Elections Présidentielles de 2022 !

    Ou alors, une nouvelle OAS devra se faire sans eux…

    Et là les Services, qui font bien leur travail -aujourd’hui pour le Régent Républicain, demain pour le Roi Très Chrètien- y ont pensé avant nous et ont pris les devants : dissolution de Génération Identitaire, perquisition dans les monastères Cathos-tradis, décret de chasse général contre Xavier Dupont de Ligonès, interpellation de Rémy Daillet, conivence entre Moderna et Modernisme https://www.vexilla-galliae.fr/actualites/chetiente-christianophobie/moderna-modernisme-meme-combat-par-alban-guillemois/ , pass sanitaire pour plonger les descendants des vrais Francs Catholiques dans une “vie de merde” pour les empécher de vivre, mise sur écoute de personnes “sensibles” et censure généralisée sur internet.

    Dans l’attente, ils arrivent
    https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/08/22/le-seigneur-na-pas-interdit-de-sourire-meme-jaune/

    Reste la rue…

    Quelqu’un a prophétisé une fin de mandat houleuse au Président Macron.

    Je prophétise de même pour le fin de mandat de Sanchez de l’autre côté…

  3. Hervé J. VOLTO août 24, 2021 à 12:57 #

    PS

    Dans l’attente du Roi, une mesure de salut public d’extrême urgance serait un vote massif CONTRE Macron au deuxième tour.

    Moi, je ne crois pas au salut par les urnes, mais c’est la seule façon démocratique de réavoir quelqu’un de sain à la tête du Pays.

    seul(e) qui, homme ou femme, s’engageant à mettre fin à la dicature sanitaire et à rappeler le Pr Raoult pourra emporter la mise.

    Le futur de la France se trouve dans une synthèses entre l’Armèe et l’Eglise, comme ce fut fait de l’autre côté des Pyrénnées du temps du Général Franco. Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souverainté, rénover nos instititons…

    Devant cette question de la survie de notre civilisation, la division du camp des Royacos, identitaires, souverainistes, ruraux n’est pas une option. Leur rassemblement autour d’une candidature unique est une nécessité urgente.

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