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Vincent Peillon ne détricote plus l’école mais ses fantasmes sont ils bien morts ?

24 Jan

Du cynisme des fonctionnaires d’autorité quand ils appliquent les consignes totalitaires de leur ministre (MM. VALLS et PEILLON).

8 Mar

Cynisme

Le cynisme des fonctionnaires d’autorité quand ils appliquent les consignes totalitaires de leur ministre, fait froid dans le dos.

C’est Jean-Marie Salanova, directeur départemental de la sécurité publique des Yvelines qui, interpellé sur le chantage que ses personnels ont fait subir à la jeune étudiante russe Anna, sommée d’espionner et dénoncer ses amis de la « Manif’pour tous », sous peine de voir sa demande de naturalisation recevoir un avis défavorable, déclare sans la moindre gêne qu’«il a été constaté qu’elle était en contact avec des groupes manifestant sur la voie publique », et estime qu’«Il est tout à fait légitime de se renseigner sur ces actions, poursuit-il.. » Ces actions, selon le policier qui a menacé Anna, consistent à «continuer à manifester alors que la loi sur le mariage pour tous a été votée. » (Comme si les gens de gauche s’étaient abstenus de manifester, en de très nombreuses occasions, contre des lois dûment votées et d’obtenir ainsi leur abrogation ! alors que contester la législation existante est parfaitement licite, pourvu que ce soit sans violence et sans s’opposer à son application, restrictions que les mouvements de gauche ont largement ignorées quand ils se sont opposés, pour ne citer que quelques exemples récents, à une réforme des retraites, à la CPE, ou aux lois antérieures sur le mariage, l’avortement, etc.)

C’est le Directeur académique de l’Académie de X…  qui, confronté à des parents indignés que, en dépit de leur refus de voir leur fils de onze ans visionner le film Tomboy, celui-ci ait été contraint de le voir en projection privée au CDI, puis de subir trois cours et deux contrôles à propos de ce film, défend le choix de ce film et l’attitude du professeur de français qui a passé outre à l’autorisation de ne pas aller voir ce film donnée par le principal

Or, l’opposition des parents s’explique parfaitement : selon les propres déclarations de ses auteurs, le film Tomboy,  est un film militant, en faveur de l’idéologie du genre « « Je voulais pouvoir faire un film qui milite à un endroit où ça allait fonctionner, où je n’allais pas m’adresser à des gens déjà convaincus, parce qu’il y a une promesse de cinéma derrière. J’ai le souci de ces équilibres : il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques, »… Ce film n’était d’ailleurs pas destiné aux enfants, dont on sait que, n’ayant pas la maturité suffisante, ils peuvent être – et sont souvent – considérablement troublés par une ambiguïté que même les adultes ont des difficultés à déchiffrer.

Mais le Directeur ne veut pas le savoir. Il se contente de répliquer, avec un extraordinaire cynisme, que « Le ministère a aussi le devoir d’éducation, que le processus d’éducation passe effectivement par l’arrachement : c’est l’héritage des lumières, » et de conclure que si les parents ont été « écoutés », ils n’ont pas été « entendus ».

Oui, « arracher » les enfants à leurs familles, leur imposer (s’agissant en outre d’activités en principe facultatives) un enseignement – illustré par un film alors qu’on sait combien les enfants sont sensibles à ce qui passe par l’image –  que leurs parents ont voulu interdire, c’est, selon ce Directeur (qui de l’opinion des parents, se moque comme de sa première chemise, les instructions de son ministre surpassant, de toute évidence, jusqu’à la Déclaration universelle des droits de l’homme, ratifiée par la France, qui reconnaît aux parents le droit de décider de l’éducation à donner à leurs enfants), une façon d’enseigner «la morale, la morale laïque. » À condition d’admettre que « la morale laïque », c’est celle de ce film qui entraîne les jeunes spectateurs  dans l’empathie avec un personnage qui ment, qui usurpe une autre identité, qui manipule sa petite sœur en la rendant complice du mensonge et qui tombe dans des excès frisant la pathologie (confection d’un pénis en pâte à modeler pour donner l’illusion d’être un garçon lors de la baignade avec la bande de copains).

Anne-Lys

Analyse mise en ligne initialement sur la liste de discussion royaliste Vexilla Regis . http://www.vexillaregis.com/?page_id=26

Billets d’humeur d’ANNE-LYS : Il est FAUX de dire comme le dit la CHARTE DE LA LAICITE : « La nation confie à l’École la mission de faire partager aux élèves les valeurs de la République ».

12 Sep

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 « La Nation confie à l’École la mission de faire partager aux élèves les valeurs de la République. » (art. 5 de la Charte).

Bien entendu, c’est faux. Jamais « la Nation » n’a confié à l’École la moindre mission d’endoctrinement. Jamais, d’ailleurs, le « peuple souverain » n’a demandé que ce soit l’État qui assure l’instruction des enfants, encore moins leur éducation.

C’est sur la base du rapport établi par la « Commission des dames chargée d’examiner les questions relatives à la réforme de l’instruction primaire » qu’il avait constituée, rapport rédigé par Mme Coignet et complété par Mme Delon (publié dans  La Revue politique et Littéraire, p. 413-418, Paris, Germer-Baillère, 1871), que Jules Ferry établit l’école publique  laïque et gratuite par la loi du 16 juin 1881, et non en réponse à une demande du « peuple souverain ». Cette loi fut complétée par la loi de 1882 qui rendit l’instruction (et non l’école) obligatoire.

Mais c’est la volonté des Républicains, de très peu majoritaires, d’enlever l’enseignement aux congrégations religieuses enseignantes afin, grâce à la formation donnée aux futurs instituteurs dans les Écoles normales, de combattre l’influence de l’Église catholique et d’extirper les sentiments monarchistes encore très présents, notamment dans les campagnes, qui a été à l’origine de cette création, et non la volonté populaire.

Mais « faire partager aux élèves les valeurs de la République », cela ne relève pas de l’instruction, mais bien de l’éducation. Et aucune loi, jusqu’ici, n’a confié à l’école publique l’éducation des enfants, celle-ci restant le domaine exclusif des parents, même si ceux-ci sont libres de confier une partie de cette mission éducative à des tiers choisis par eux.

A l’ECOLE: Une Charte de la Laïcité ? Mais non une CHARTE de la REPUBLIQUE. L’endoctrinement croit et embellit

9 Sep

La Charte de la laïcité dans chaque établissement scolaire Installée le 9 septembre 2013 par Vincent Peillon,

la Charte de la laïcité rappelle les règles essentielles de vivre ensemble dans l’espace scolaire. Pédagogique, elle aide chacun à comprendre le sens de ces règles fondées sur les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité de la République.

http://www.gouvernement.fr/gouvernement/education-et-recherche

Charte de la laïcité à l’école. La Nation confie à l’Ecole la mission de faire partager aux élèves les valeurs de la République

1 – La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi, sur l’ensemble de son territoire, de tous les citoyens. Elle respecte toute les croyances.

2 – La république laïque organise la séparation des religions et de l’Etat. L’Etat est neutre à l’égard des convictions religieuses ou spirituelles. Il n’y a pas de religion d’Etat.

3 – La laïcité garantit la liberté de conscience à tous. Chacun est libre de croire ou de ne pas croire. Elle permet la libre expression de ses convictions, dans le respect de celles d’autrui et dans les limites de l’ordre public.

4 – La laïcité permet l’exercice de la citoyenneté, en conciliant la liberté de chacun avec l’égalité et la fraternité de tous dans le souci de l’intérêt général.

5 – La République assure dans les établissements scolaires le respect de chacun de ces principes.

6 – La laïcité de l’Ecole offre aux élèves les conditions pour forger leur personnalité, exercer leur libre arbitre et faire l’apprentissage de la citoyenneté. Elle les protège de tout prosélytisme et de toute pression qui les empêcheraient de faire leur propre choix.

7 – La laïcité assure aux élèves l’accès à une culture commune et partagée.

8 – La laïcité permet l’exercice de la liberté d’expression des élèves dans la limite du bon fonctionnement de l’Ecole comme du respect des valeurs républicaines et du pluralisme des convictions.

9 – La laïcité implique le rejet de toutes les violences et de toutes les discriminations, garantit l’égalité des filles et des garçons et repose sur une culture du respect et de la compréhension de l’autre.

10 – Il appartient à tous les personnels le sens et la valeur de la laïcité ainsi que des autres principes fondamentaux de la République. Ils veillent à leur application dans le cadre scolaire. Il leur revient de porter la présente charte à la connaissance des parents d’élèves.

11 – Les personnels ont un devoir de stricte neutralité : ils ne doivent pas manifester leurs convictions politiques ou religieuses dans l’exercice de leur fonction.

12 – Les enseignements sont laïques. Afin de garantir aux élèves l’ouverture la plus objective possible à la diversité des visions du monde ainsi qu’à l’étendue et à la précision des savoirs, aucun sujet n’est à priori exclu du questionnement scientifique et pédagogique. Aucun élève ne peut invoquer une conviction religieuse ou politique pour contester à un enseignant le droit de traiter une question au programme.

13 – Nul ne peut se prévaloir de son appartenance religieuse pour refuser de se conformer aux règles applicables dans l’Ecole de la République

14 – Dans les établissements scolaires publics, les règles de vie des différents espaces, précisés dans le règlement intérieur, sont respectueuses de la laïcité. Le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit.

15 – Par leurs réflexions et leurs activités, les élèves contribuent à faire vivre la laïcité au sein de leur établissement.

http://www.latribunedesantilles.net/index.php?option=com_content&task=view&id=4073&Itemid=54

imagesCe Que le Roi  Fera  Demain

Nous rappelerons que l’institution d’un ministère de l’Education Nationale est une monstruosité ;  ce sont les parents  qui éduquent et non l’Etat. Rappelons aussi  que la formule La France est une république est  vicieuse , la France est un pays et  qui, en tant que tel peut se choisir tel ou tel forme de gouvernement .

Quant  au reste, la laïcité est le cache-sexe d’un certain nombre  de totalitarismes. Comment lire  sans frémir  ce  qui figure en préambule de ce texte : La Nation confie à l’Ecole la mission de faire partager aux élèves les valeurs de la République ? Le premier des  droits de l’homme ne devrait-il pas être celui de  choisir  sa  forme de Gouvernement ?  La façon dont la république s’est imposée aux Français  au milieu des échafauds et du populicide Vendéen ne la disqualifie t’elle pas durablement ? Et de  quel droit   l’imposerait-on à des enfants au mental si fragile et si malléable et  à l’intelligence en formation?

Peillon avoue que la FRANC-MAçONNERIE est la RELIGION de la REPUBLIQUE

20 Août

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Au-dessus des droits de l’homme il y a la franc-maçonnerie… 

Il existe aussi sur le web des instants de grâce qui viennent ajuster dans votre esprit tous les éléments que vous recherchiez à mettre en lumière sans tomber dans la dénonciation vulgaire du complot. Souvent ces instants de grâce correspondent à des paroles dites par des hommes hauts placés dans la pyramide et qui se laissent aller à des déclarations mettant en lumière ce que nous essayons de dire vulgairement. L’ex porte-parole de Ségolène Royal pendant la campagne présidentielle de 2007, membre du PS et chercheur historien sur la république est de ceux-là. Il sait ce qu’il dit et peut donc dire ce qu’il sait s’il le veut. C’est ce qu’il fait dans cette vidéo de 3 minutes où il explique ce qu’est la république fondamentalement. Une république maçonnique  alignée sur les révolutions anglo-hollando-américaines, pour détruire le pouvoir spirituel de l’église catholique. Ce en quoi d’ailleurs on peut ne pas être totalement en désaccord. En tant qu’agnostique je peux comprendre qu’il faille réduire le pouvoir des religions sur les esprits. Mais de là à le détruire et à le remplacer par une autre religion appelée laïcité, non.

A voir donc ce moment de grâce internautique grâce au lien ci-dessous  qui vous  donnera accés à la vidéo

La question que vous devriez vous poser maintenant est : Et si je n’appartiens pas à la franc-maçonnerie puis-je accéder au sommet de la pyramide ? Et bien non bien entendu puisque c’est la religion de la république. Vous devez donc entrer en religion maçonnique pour espérer gravir l’échelle et cela induit la proximité de réseau, un réseau occulte, sous-terrain, et non contrôlé évidemment par le vote démocratique.

http://crashdebug.fr/index.php/actualites-france/4253-peillon-avoue-que-la-franc-maconnerie-est-la-religion-de-la-republique

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Le « Printemps français » a retrouvé – et réouvert – la Bastille … Chic !

14 Juil

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Manif pour tous.APRÈS LA MATRAQUE, LES RAFLES

4 Juin

Nous relayons ici la Lettre d’information du Centre royaliste d’Action française – 31 mai 2013

Aidez-les, aidez-nous !

Chaque année l’Action française rend hommage aux étudiants patriotes qui ont bravé l’interdit de l’occupant allemand, le 11 novembre 1940. C’est toujours avec une certaine émotion que nous imaginons ces étudiants et lycéens, mains nues devant l’envahisseur nazi. Bon nombre d’entre eux étaient d’Action française, et nous avons encore des aînés chez nous pour témoigner de ce premier acte historique de résistance à l’occupant.

Dimanche soir, le 26 mai, c’étaient aussi et surtout des étudiants et lycéens qui faisaient face aux forces du régime. On est libre de ne pas me croire, mais j’affirme qu’il y a eu plus de blessés le 26 mai 2013 que le 11 novembre 1940.

Valls a lâché les chiens (policiers) sur les Français, comme jadis le gouverneur teuton du « Groß Paris ».

L’Action française, toujours consciente des risques que faisaient courir aux manifestants les grossières provocations policières, a ciblé (avec quelque succès), dans les échauffourées des Invalides, les policiers en civil qui tantôt faisaient mine d’agresser les CRS et tantôt mettaient prestement leurs brassards en sortant les matraques télescopiques pour exfiltrer avec une rare violence des manifestants un peu isolés.

Bilan : dix-sept interpellations et mises en garde à vue dans les seuls rangs de l’Action française, et plusieurs blessés, notamment par « flash ball » dont deux grièvement, poignets cassés et côtes fêlées, encore hospitalisés à l’heure où j’écris.

Cela continue… Lundi 27 mai 2013, à Buffon, des manifestants qui voulaient pacifiquement interpeller Hollande – venu célébrer la Résistance, un comble ! -, se sont fait embarquermanu militari par des CRS, au seul motif qu’ils portaient sur eux le polo de la Manif pour tous. Parmi eux, beaucoup de mères de famille.

Les Kapos de la « Reich-publique » s’affolent, frappent, traquent, raflent..

Le pouvoir rend fou, et, avec leur police, ses détenteurs se croient tout permis. Nos enfants dans les crèches et dans les écoles sont réellement en danger de viol idéologique, demandez à Bertinoti, Vallaud-Belkacem et Peillon ce qu’ils en disent.

À la violence aveugle d’un pouvoir sectaire aux abois, nous répondrons avec la force tranquille d’un peuple en marche, sûr de la victoire finale.

Olivier Perceval

Secrétaire général de l’Action française

« Mignon, allons voir si le reséda… » Nouveau délire « égalitaire » d’Aurélie Filippetti, ministre de la culture ?

30 Avr

«  j’ai installé  un comité d’observation de l’égalité hommes –femmes et un de ses membres a noté que, dans les séries télévisées, les femmes étaient  beaucoup plus souvent  victimes de meurtres que les hommes. J’ai repris  cette remarque, illustrant  le thême de la représentation des genres  dans la fiction. Partant de là, certains ont déclaré  que je  voulais  dénombrer  exactement  le nombre de femmes  assassinées  à la télévision ! C’est absurde. » . TV Magazine n ° 5145 . Du dimanche 28 avril au samedi 4 mai 2013 p.4.

Nous  voudrions être  bien sûr  que la saillie  rapportée ne  soit pas   exactement  ce  que Madame Filippeti  pense  de l’égalité hommes-femmes. Le  gouvernement  auquel elle appartient  a trop  donné de  signes de son attachement  fétichiste à une égalité artificielle entre les sexes… sauf  paradoxalement pour le mariage ( !) pour  qu’on soit  convaincu des dénégations ministérielles. Ajoutons à la louche que les pouvoirs publics n’ont pas renoncé  d’avantage à l’absurde  égalité des  sexes  auto proclamée dans les promotions de la Légion d’honneur.                                                                                                                                                                                                                                             Alors  faut-il s’attendre  à soufrrir  désormais avec « Monsieur Bovary » , à admirer le prince de Clêves, parfait symbole de la sincérité et de la vertu ,à s’apitoyer  sur la maladie de poitrine  dont  souffre « le Traviato », et à rire  devant  les stupidités accumulées par «  Bécassin » ?  Avec ce  gouvernement, tout  est désormais possible. n’est ce-pas d’ailleurs  un de  ses membres les plus éminents  chargé de l’Education ationale , M. Vincent Peillon  qui déclare  sans sourciller « La révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution    http://www.christianophobie.fr/breves/vincent-peillon-delirant-antichretien-et-ministre?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+(Observatoire+de+la+christianophobie)

images CQFD. Ce Qui Fonderait Demain… l’action du roi à venir.  Nous ne  voudrions pas lasser nos lecteurs mais   cette recherche de l’égalité  absolue et  coupée  du réel est  bien un des fondements  d’une république pour  qui les faits doivent  s’effacer  devant une  volonté politique  qui se  croit  chargée  de  reconstruire un homme nouveau. « Commençons par écarter les faits, car ils ne touchent pas à la question »,  n’hésite pas à déclarer  Jean-Jaques Rousseau  au début du Discours sur l’Origine de l’Inégalité. Avec  de tels premisses, comment  s’étonner des résultats  attendus in fine ? Rien à voir, donc, avec l’homme de l’Ancien régime  situé  dans on ordre, dans son état professionnel  et  dans ss province   pour ne rien dire des innombrables liens religieux qui l’uniisaient à la mère église… Considerez  votre N° INSEE qui vous situe désormais  dans l’etat  et  déplorez avec nous  ceete décadence.. .Sommes nous si loin  de la marque de la bête  sur leur main droite ou sur leur front, ont parle l’apocalypse.(Apocalypse 13/16-17) ?

Alain TEXIER,  membre du Conseil dans l’espérance du Roi

Peillon, prédicateur de la religion révolutionnaire.

17 Avr

les 4 vérités

Intéressantes citations reprises des 4 Vérités (http://www.les4verites.com/):

 

16 avril 2013 par Courrier dans La UnePolitiqueSociété 

Voici ce que Vincent Peillon écrivait dans La Révolution française n’est pas terminée, 2008, le Seuil :

« La révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi.»

Et, le 2 septembre dernier, dans le Journal du dimanche, répondant à la journaliste Adeline Fleury : « Le point de départ de la laïcité c’est le respect absolu de la liberté de conscience. Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel… »

Et c’est à l’homme qui veut user de tant de violence révolutionnaire contre nos enfants, celui qui veut les « dépouiller » de toutes leurs racines, celui qui se vante de les « arracher » à leur famille, que M.Hollande, en Président « normal » a confié leur éducation !

Anne Lys

Le 17 avril 2013.

Les conférences du Centre Saint-Paul (Paris).

12 Fév

Centre Saint-Paul

Conférences de février 2013

       Le Centre Saint-Paul vous accueille tous les mardis pour une conférence sur un événement, un sujet, un livre ou un homme dont on parle, et un samedi par mois pour une conférence du Cercle de l’Aréopage.
  • Mardi 12 février :  « Jésus et les historiens »
Par Jean-Christian Petitfils
Jean-Christian Petitfils a écrit un Jésus qui fera date.
Mieux qu’autrefois Daniel-Rops, il a su montrer que Jésus est un personnage historique, que le témoignage des apôtres est fiable et que nous tenons, dans les innombrables petits faits historiques qui s’accumulent de découverte en découverte, une véritable preuve de Jésus par l’Histoire.
Fruit de quelque trente années de travail, cette synthèse n’a pas d’équivalent.
L’auteur dédicacera son livre après la conférence.

  • Mardi 19 février :  « La Révolution française n’est pas terminée, ou Comment le totalitarisme vient à la Gauche »
Par l’Abbé Guillaume de Tanoüarn
L’abbé Guillaume de Tanoüarn a suivi attentivement les productions philosophiques et les frasques politiques de Vincent Peillon, notre ministre de l’Education Nationale.
Il se penche sur son dernier ouvrage : La Révolution française n’est pas terminée, en montrant comment la laïcité est l’idéologie responsable de tous les déracinements. C’est la lutte contre toute forme d’identité qui est aujourd’hui le logiciel de la Gauche au pouvoir.
L’identité sexuelle elle-même devient problématique à entendre les idéologues du mouvement lesbien qui inspirent aujourd’hui les campagnes du lobby.
  • Samedi 23 février :  Colloque franco-russe 
 
Organisé par le Cercle de l’Aréopage
 
  • Samedi 26 février : « Syrie, une géopolitique étrangement surnaturelle. Miracles et stigmatisation au milieu de l’enfer »
Par Jean-Claude Antakli
Jean-Claude Antakli est un biologiste syrien. Il a réfléchi sur le silence de Dieu face à la destruction des chrétiens d’Orient. C’est le titre de son dernier livre aux éditions du Parvis.
En tant que scientifique, il a analysé les manifestations de Dieu, les miracles et les phénomènes mystiques extraordinares, dans cette partie du monde qui est la matrice de notre civilisation.
Son regard sur la Syrie est à la fois celui du géopoliticien et de l’homme de foi.

Début des conférences du mardi à 20h15.
Le samedi, conférence de 14h à 18h30.Lieu: Centre Saint-Paul, 12 rue Saint-Joseph, 75002 Paris.
Métro Sentier, Bourse ou Bonne NouvelleTarifs: 5 €, 2 € pour les étudiants.
10 € pour les conférences du Cercle de l’Aréopage (le samedi).
Les conférences seront suivies d’un buffet.
Renseignements au 07 62 07 26 41 pour les conférences du Centre Saint-Paul.
Renseignements au 06 98 56 02 06 pour les conférences du Cercle de l’Aréopage.
Retrouvez également toutes ces informations sur notre site internet :www.cccsp.fr