Nous ne voulons pas d’une France où l’accouplement généralisé entre toutes sortes de personnes remplacera le mariage béni par Dieu.
Nous ne voulons pas d’une France où l’égoïsme posé en principe dans le recherche sans frein de ce que l’on croit être le bonheur personnel et qui ne sera en réalité que le plaisir forcené aura remplacé la recherche du bien commun.
Nous ne voulons pas d’une France où la parité sera imposée à marche forcée alors que naître femme ou homme ne témoigne pas d’une qualité ou d’un talent particulier qui devrait, à ce titre donner lieu –partout- à une représentation équilibrée. Etrangement, notons que cette parité n’est exclue que dans le mariage qui ne consistera plus exclusivement dans l’union d’un homme et d’une femme Nous ne voulons pas des propositions de Mme Najat VALLAUD-BELKACEM, ministricule du droit des femmes estimant qu’il » faut passer en revue les manuels scolaires à propos de l’homosexualité » et qu’il « serait utile que des familles homoparentales soient représentées dans les campagnes de communication généralistes du gouvernement afin de banaliser ce fait« .
Nous ne voulons pas d’une France où la contraception généralisée et gratuite sera offerte à des jeunes filles mineures de 15 à 18 ans en cachette de leurs parents.
Nous ne voulons pas du remboursement par l’assurance maladie à 100% des avortements ( IVG=Interruption de Vie Génante); l’avortement étant ainsi considéré comme un soin, préférant de très loin le remboursement des implants dentaires, notamment, au même tarif.
Nous ne voulons pas d’une France où l’Etat se fera pourvoyeur de drogues en attendant sans doute de fournir les pervers en fille à forcer et les tueurs en gibier à abattre … Car après tout, il ne s’agira là que de trois modalités différentes des « salles de shoot » que l’on veut nous imposer.
Nous ne voulons pas d’une France dans laquelle seront encadrés les loyers, les licenciements, la liberté de faire fortune grâce à ses talents et de léguer librement ses biens à sa descendance.
Nous ne voulons pas d’une France dans laquelle nous serons bientôt minoritaires chez nous.
Nous ne voulons pas d’une France dans laquelle des « princes » croient nous gouverner alors qu’ils ne sont que des instruments impuissants que Satan s’amuse à agiter de mouvement convulsifs telle la marotte du fou du roi.
Nous voulons au contraire d’une France dans laquelle nous puissions nous épanouir et nous sauver corps et âmes. Un pays dont on puisse dire dans la ligne du vœu de Louis XIII « Regnum Galliae, regnum Mariae », le royaume de France est le royaume de Marie.
Ce vœu n’a heureusement pas fini de produire en notre pays ses effets bénéfiques. Il a pu être écrit « En consacrant la France à la Sainte Vierge, Louis XIII donnait à la Reine du ciel un droit de propriété total et irrévocable sur notre pays, et Marie ne peut pas abandonner définitivement au Pouvoir de Satan ce qui lui appartient spécialement, sans encourir du même coup, une diminution définitive de sa toute-puissance d’intercession, de sa souveraineté et de sa royauté, ce qui est une impossibilité. »
http://semperfidelis.over-blog.fr/article-la-sainte-vierge-et-la-france-63219552.html
Cet avenir que le roi Louis XIII voulait radieux c’est notre présent et le moins que l’on puisse en dire c’est qu’il est bien gris, bien froid et bien glissant.
Le vœu dit de Louis XIII est indissociable de celui qui l’a prononcé, à savoir le roi de France, et il est assez clair que sans roi notre pays court à sa perte. « Souvenez vous Marie qu’un de nos souverains remit notre Patrie en vos augustes mains » Et souvenons-en nous même en ne profanant pas le beau nom de « Royaliste » par des comportements qui sont en réalité marqués du républicanisme le plus obtus.
Les colonnes du CER (Conseil dans l’Espérance du Roi) sont un de ces territoires dans lequel le vœu de Louis XIII a continué, nolens volens, à produire ses effets.
Venez vous y abriter sous les plis de son étendart – Là les vents ne sont pas contraires. – Là le bruit du monde et de ses tentations ne parvient qu’assourdi – Là vous pourrez reprendre courage et faire aussi provision d’arguments pour repartir à la conquête des esprits. – Apportez-y aussi les pierres que vous aurez renonçé à jeter à la figure des militants, vos frères pourtant, ne partageant pas vos options.Croyez que nous en ferons bon usage dans nos pierriers, catapultes, onagres et autres balistes.
Alain TEXIER, membre du CER (Conseil dans l’Espérance du Roi).
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