Document : l’opinion du Dr De Rochambeau, président du Syndicat des Gynécologues et Obstétriciens français sur l’IVG.

12 Sep

Interrogé pour l’émission « Quotidien« , voici le point de vue du médecin face à la journaliste :

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Le 12 septembre 2018.

Pour le CER, Hippocrate, Conseiller à la santé publique.

Une Réponse to “Document : l’opinion du Dr De Rochambeau, président du Syndicat des Gynécologues et Obstétriciens français sur l’IVG.”

  1. Hervé J. VOLTO septembre 13, 2018 à 11:38 #

    Extrai de la constitution italienne de 1946

    Article 29
    La République reconnaît les droits de la famille en tant que société naturelle fondée sur le mariage. Le mariage repose sur l’égalité morale et juridique des époux, dans les limites fixées par la loi pour garantir l’unité de la famille.

    Article 30
    Les parents ont le devoir et le droit d’entretenir, d’instruire et d’élever leurs enfants, même s’ils sont nés hors mariage. Dans les cas d’incapacité des parents, la loi pourvoit à ce que leurs devoirs soient remplis.

    La loi assure aux enfants nés hors mariage toute la protection juridique et sociale compatible avec les droits des membres de la famille légitime.

    LA LOI FIXE LES REGLES ET LES LIMITES POUR LA RECHERCHE DE PATERNITE.

    Article 31
    La République favorise par des mesures économiques et autres moyens la formation de la famille et l’accomplissement des devoirs qu’elle comporte, et particulièrement les familles nombreuses. Elle protège la maternité, l’enfance et la jeunesse, en favorisant les institutions juridiques nécessaires à ce but.

    En Italie, un homme qui abadonne une femme enceinte, prévoie que celle-ci peut lui demender des dommages et intérets et une versement d’un pension pour élever l’enfant, si elle peut démontrer qu’il est le père de l’enfant, ce qui est très facilement faisable grace aux teste ADN. C’est fréquent chez les jeunes de moins de trente ans. La même loi protège la femme en cas de demende de divorce :

    A. Le divorces n’est concédé qu’après dix ans de séparation.

    B. Déjà en cas de séparation, l’homme est obligé de verser une pension alimentaire à la femme dèlaissée. Les détectives privés en Italie gagnent leur beurre en travaillant à démontrer si c’est la femme qui est partie -elle perd tout, sauf pour cas de violences conjugales- et si c’est lui le salaud qui part avec une pute plus jeune, où une femme « rxotique » : femmes de l’est, de l’Afrique ou de l’Amérique du Sud, intéressées par les hommes « à pognon ».

    Il y a, en Italie, beaucoups moins :

    1. de libertinage…

    2. d’avortements…

    qu’en France.

    Par contre, il y a, hélas, une augmentation exponetiel de « crimes d’honneur » et de « féminicides », équivalant de notre crime passionnel, où l’homme -lorsqu’il est trompé par sa femme- assasine cette dernière.

    L’homme italien a mauvaise réputation et beaucoups de femmes propres italiennes cherchent des honnes étrangers…

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